janvier 2024


Dans le cadre des partenariats stratégiques mis en place par la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), en vue de lutter contre la corruption en Côte d’Ivoire, les organes de contrôle et de régulation ont été formés, le 13 juin 2019 à Abidjan, sur les instruments internationaux anticorruption.

Les participants ont été instruits sur la Convention des Nations Unies contre la Corruption (CNUCC), Global Compact, le Principe 3 de la norme internationale relative à la responsabilité sociétale des entreprises (ISO 26000), la norme internationale relative au système de management anti-corruption (ISO 37001) et le Pacte d’intégrité.

Outre les instruments de lutte contre la corruption, les participants ont été formés sur l’implémentation de la démarche éthique et anticorruption dispensée par le directeur de cabinet du président de la HABG, Bakari Traoré.

Les participants venaient de l’Autorité nationale de régulation des marchés publics (ANRMP), de l’Inspection générale d’Etat (IGE),de l’Inspection générale des finances (IGF), de l’Inspection générale du Trésor (IGT), de la Direction générale des marchés publics (DGMP), de la Direction du patrimoine de l’Etat (DPE), de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) et de Côte d’Ivoire normalisation (CODINORM).  


La Société de Gestion du Patrimoine Immobilier de l’Etat (SOGEPIE), la Société des palaces de Cocody (SPDC) et la Société de développement touristique de la région des lacs (SODERTOURLACS) ont été dissoutes par le gouvernement au profit de la Société Nationale de Gestion du Patrimoine Immobilier de l’Etat, dénommée SONAPIE.

 

L’annonce a été faite par le porte-parole du gouvernement, le ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie, Amadou Coulibaly, au terme du Conseil des ministres, le 23 février 2022 à Abidjan.

 

« Le Conseil a adopté un décret portant création de la Société nationale de Gestion du patrimoine immobilier de l’Etat, en abrégé « SONAPIE ». Cette nouvelle société d’Etat est destinée à prendre en charge les attributions de la Société de Gestion du Patrimoine Immobilier de l’Etat (SOGEPIE), de la Société des Palaces de Cocody (SPDC) et de la Société de Développement Touristique de la Région des lacs (SODERTOURLACS), dissoutes », a déclaré Amadou Coulibaly.

 

Selon le porte-parole du gouvernement, cette société unique de gestion du patrimoine immobilier de l’Etat, dénommée SONAPIE a pour but de rationaliser et d’optimiser la gestion du patrimoine immobilier de l’Etat. 



Cinq mois après le succès retentissant, à Abidjan, de la Cop15, le matériel et les équipements mis à la disposition du comité d’organisation de cet évènement sont désormais réintégrés dans le patrimoine de l’Etat.

Rationnaliser et optimiser la gestion du patrimoine mobilier de l’Etat pour promouvoir la bonne gouvernance et l’intérêt général. C’est le changement de paradigme envisagé par le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat. En sa qualité de ministre de tutelle de la Direction du Patrimoine de l’Etat, Moussa Sanogo a exprimé cette volonté, le jeudi 15 septembre, à la faveur de la cérémonie symbolique de réintégration dans le patrimoine de l’Etat du matériel et des équipements mis à la disposition du comité d’organisation de la quinzième Conférence des Parties (Cop15) à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification et la sécheresse qui s’est tenu, il y a 5 mois, à Abidjan. C’était en présence du Ministre de la Promotion de la Bonne Gouvernance, du Renforcement des Capacités et de la Lutte contre la Corruption, Epiphane Zoro Bi Ballo.

Il s’agit de 55 000 pièces de matériels et d’équipements composées de mobiliers de bureaux, de matériel informatique et de sonorisation, de matériel médical et de construction temporaire, etc. Moussa Sanogo a réceptionné symboliquement ces biens des mains du Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Jean-Luc Assi et d’Abou Bamba, Pco de la Cop15. Pour le dernier cité, cette mise à disposition de biens acquis avec les ressources de l’Etat et des partenaires en vue d’assurer le bon déroulement de la Cop15 s’inscrit dans le cadre du principe de bonne gouvernance prôné par le Président de la République.

Après la réception symbolique, le Ministre Moussa Sanogo a félicité le comité d’organisation de la Cop15 pour cette initiative inédite, derrière laquelle transparaissent selon lui « le principe de reddition des comptes et la transparence, à travers la mise en œuvre efficace de la compatibilité matière ». Après avoir encouragé tous les responsables de projets à suivre cette démarche,  il annoncé des actions en vue de renforcer le suivi et le contrôle des biens et équipement acquis avec les ressources de l’Etat. « Pour nous-même ministère, en particulier pour les problématiques relatives à la gestion du patrimoine, nous sommes interpellés sur la nécessité de revisiter nos procédures, pour faire en sorte plutôt que ce soit les structures, qui dans un geste citoyen nous ramènent des matériels qui ont été acquis sur le budget de l’Etat, à l’avenir que ce soit nous qui fassions l’inventaire des matériels utilisés pour les réintégrer dans nos fichiers. De sorte à pouvoir satisfaire les besoins qui s’exprimeront plus tard en matière de mobiliers et de matériels informatiques », a-t-il annoncé.

Concernant les retombées de la Cop15, le ministre Jean-Luc Assi a indiqué que les promesses de contribution au financement d’Abidjan Legacy program se situent aujourd’hui à plus de 2,5 milliards de dollars des Etats-Unis, soit plus de 1 642,2 milliards de FCFA. La contribution du Canada, quant à elle, est estimée à 40 millions de dollars, soit 26,2 milliards de FCFA.


 

Les lauréats de la 5e édition du Prix d’excellence de la gouvernance et de la performance des entreprises publiques ont été récompensés ce mercredi 4 octobre 2023, à la Patinoire du Sofitel hôtel Ivoire, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo.

A l’issue des délibérations du jury, le Port autonome de San Pedro (PASP) a logiquement enlevé le Prix de la gouvernance ou Super prix 2023, après s’être vu attribué le premier Prix de la performance économique et financière des entreprises commerciales secteur marchand et le 3ème prix de l’efficacité du conseil d’administration.

Le premier Prix de la performance économique et financière des entreprises non commerciales, dans la catégorie secteur non marchand, a été attribué à la SODEXAM et le Prix de l’efficacité du conseil d’administration, pour la troisième fois à l’Office national de l’eau potable (ONEP). Quant au Prix d’encouragement, il est revenu à la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR).

Le ministre Moussa Sanogo a félicité les lauréats qu’il a exhortés à « garder le cap » et encouragé les entreprises qui n’ont pas été primées à redoubler d’effort afin de figurer parmi les lauréats des prochaines éditions. Il a indiqué que ce prix d’excellence contribue à la promotion de la bonne gouvernance au niveau des entreprises publiques, implémentée grâce à d’importantes réformes initiées dans ce sens par le ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat. En témoigne l’orientation haussière des résultats, y compris au niveau des sociétés à participation publique minoritaire contrôlée par l’Etat. « Les effets positifs se sont traduits par une hausse de 52% du résultat net cumulé, qui est passé de 58,43 milliards Fcfa en 2021 à 88,93 milliards Fcfa en 2022, au niveau des entreprises publiques, c’est-à-dire celles qui ont l’Etat comme unique actionnaire ou celles au sein desquelles l’Etat détient la majorité des parts sociales », précise le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat. Mieux, il se réjouit que cette orientation haussière des résultats soit également constatée au niveau des sociétés à participation publique minoritaire contrôlées par l’Etat.

Moussa Sanogo interpelle toutefois que si « du chemin a été parcouru, il n’en demeure pas moins que les défis et chantiers qui se dressent devant sont encore nombreux », au regard de l’objectif qui est de faire du portefeuille de l’Etat un accélérateur du développement.

Pour sa part, le Directeur général du Portefeuille de l’Etat, Bamba Seydou, a déclaré que sa direction s’inscrit dans la vision du ministre Moussa Sanogo de voir les entreprises publiques ivoiriennes s’exporter et compétir à l’international. Ses orientations, a relevé le directeur général, conduisent les entreprises publiques sur la voie de la performance. Il a affirmé que les entreprises de divers secteurs d’activités qui ont récompensées, sur les 87 sociétés qui compose le portefeuille de l’Etat, ont fait preuve d’un esprit d’innovation et d’une gestion exemplaire.


Le Ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat (MBPE) a organisé le jeudi 08 juin 2023, à l’Hôtel IVOTEL sis au Plateau, la cérémonie de présentation des innovations majeures du nouveau cadre juridique du portefeuille de l’Etat et des lois annotées et commentées.

Présidée par Monsieur Moussa SANOGO, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, la cérémonie s’est inscrite dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie 2021-2025 de gestion du Portefeuille de l’Etat, qui a favorisé la prise de plusieurs réformes, au rang desquelles, le nouveau cadre juridique du portefeuille de l’Etat.

Cette cérémonie a donc été l’occasion de présenter les innovations majeures induites par les nouvelles lois relatives aux entreprises publiques, ainsi que leur version annotées et commentées, aux Ministères de tutelle technique, administrateurs, dirigeants sociaux, conseils juridiques et commissaires aux comptes venus en grand nombre.

Après avoir remercié Monsieur Moussa SANOGO, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat pour les initiatives prises en vue de l’amélioration de la gouvernance des entreprises publiques, Monsieur BAMBA Seydou, Directeur Général du Portefeuille de l’Etat, a indiqué que la refonte des textes de lois qui régissent le secteur parapublic a donné naissance aux lois N° 2020-626 du 14 août 2020 portant définition et organisation des sociétés d’Etat et N° 2020-886 du 21 octobre 2020 relative aux sociétés à participation financière publique, adoptés en remplacement des lois de 1997, a pour finalité, la mise en cohérence des textes avec les meilleures pratiques internationales en matière de gestion des entreprises publiques.

Ces lois, dans leur version annotée et commentée quant à elles, permettront aux différentes parties prenantes de disposer d’une base commune de compréhension du nouveau cadre juridique du portefeuille de l’Etat, de simplifier et harmoniser la compréhension de ces nouvelles lois, et de les vulgariser afin de favoriser leur utilisation dans l’atteinte des objectifs de l’Etat-actionnaire.

A la suite du Directeur Général, Maître Karim FADIGA, Avocat à la cour d’appel d’Abidjan et Consultant, a présenté dans le détail les innovations qui portent sur (I) l’intégration d’un administrateur indépendant dans une société d’État qui participera au renforcement de la transparence et contribuera ainsi à l’amélioration de la qualité de la prise de décisions, (II) la nomination dans les Sociétés à Participation Financière Publique, de deux suppléants dont un proposé par le ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’État, en sus des deux commissaires aux comptes, (III) l’exercice d’un pouvoir de contrôle par le ministre de tutelle technique qui ne s’opère que sur le fonctionnement technique de la Société d’Etat, (IV) l’aménagement de la procédure d’autorisation de dépassement du seuil d’emprunt et de garantie des Sociétés d’Etat et des Sociétés à Participation Financière Publique majoritaire, (V) les précisions des conditions et modalités d’acquisition et d’aliénation des biens immeubles et de création de filiale par les Sociétés d’Etat et (VI) l’établissement d’un rapport de gestion semestrielle ainsi qu’un tableau d’activités et de résultat, dans les deux mois suivants la fin du premier semestre  par les sociétés à participation financière publique et les sociétés d’Etat.

Prenant la parole, Monsieur Moussa SANOGO qui, après avoir adressé chaleureusement ses vifs remerciements à l’assemblée, a salué la contribution de celle-ci à l’instauration et l’adoption du nouveau cadre juridique. Pour clore ses propos, le Ministre a nourrit l’espoir que cette initiative apporterait un véritable changement, un vent neuf dans la gestion des entreprises publiques.

Il s’en est suivi la remise de quelques exemplaires des livrets aux dirigeants des sociétés d’Etat et celles à participation financière publique, dédicacés par Monsieur le Ministre, Moussa SANOGO.

La cérémonie fut clôturée par un cocktail offert aux invités, dans un cadre d’échanges conviviaux.

 


Le Ministère du Budget et du Portefeuille de l’État (MBPE), à travers la Direction Générale du Portefeuille de l’État (DGPE), a organisé le Vendredi 16 juin 2023, à 09 heures à l’hôtel Ivotel au Plateau, une rencontre d’échange sur le développement d’un nouveau système applicatif de gestion du portefeuille avec les Directeurs des Systèmes d’Information (DSI) des Entités du portefeuille.

Cette rencontre, qui a été présidée par M. BAMBA Seydou, Directeur Général du Portefeuille de l’État, s’inscrit dans la mise en œuvre du schéma directeur à travers le développement du nouveau système applicatif en ligne avec la nouvelle stratégie 2021-2025 de gestion du Portefeuille de l’Etat.

Dans la série des interventions, M. BAMBA Seydou a situé le contexte et les objectifs de la mise en œuvre du nouveau système applicatif de gestion du portefeuille de l’Etat et demander la collaboration des Directeurs des Systèmes d’Information (DSI) avec la DGPE. Il dira en substance : « Je souhaite que cette réunion soit l’occasion pour nous et pour vous de faire des recommandations pertinentes pour avoir un applicatif informatique performant et moderne ».

A la suite de Monsieur le Directeur Général du Portefeuille de l’Etat, M. Alain KOHOU, PDG du Cabinet N-SOCITECH a, au cours de son intervention, rassuré les Directeurs des Systèmes d’Information des Entités du Portefeuille de la prise en compte de toutes leurs recommandations.

Enfin, ce fut le tour de M. Yaya DIALLO, le chef de projet, d’expliquer par un exposé PowerPoint, le mécanisme de collecte et de traitement des données de l’outil.  A travers une série de questions-réponses avec les participants, l’Expert s’est voulu rassurant, notamment sur les dispositions qui seront prises pour la fiabilité et la sécurité des données transmises.

C’est autour d’un cocktail aux allures d’un déjeuner que la rencontre d’échanges de ce jour a pris fin.



Dans le cadre de la continuité du dialogue stratégique avec les acteurs du secteur parapublic et en vue de présenter aux entités du Portefeuille de l’Etat, les enjeux et perspectives en matière de gestion, le Ministère du Patrimoine, du Portefeuille de l’Etat et des Entreprises Publiques (MPPEEP), a organisé le lundi 27 novembre 2023 à Ivotel Plateau une rencontre d’échanges sur le thème : « Entreprise publique : enjeux et perspectives », avec les Dirigeants Sociaux des entreprises publiques et des Agences d’Exécution.

Cette rencontre a été initiée dans l’optique de présenter les enjeux et problématiques actuels liés à la gestion des entités du portefeuille de l’Etat. Il s‘agissait pour le ministère en charge du suivi de la gestion des entreprises publiques et des Agences d’exécution de faire un état des lieux des acquis en matière de gestion du portefeuille de l’Etat et de se projeter à travers les perspectives afin d’améliorer la gouvernance et la gestion desdites entités.

Moussa SANOGO, Ministre du Patrimoine, du Portefeuille de l’Etat et des Entreprises Publiques a présenté le cadre de la rencontre et indiqué que la gouvernance et la performance des entreprises publiques ont connu une nette amélioration, « une hausse de résultat net cumulé passée de 84.17 milliards de FCFA en 2021 à 219 milliards de FCFA en 2022, soit une hausse de 158% ».

Il a précisé qu’en dépit des résultats satisfaisants obtenus, de nombreux défis restent à relever. Aussi, les réflexions doivent-elles impérativement porter sur la consolidation du dispositif de gestion des entreprises publiques et une attention particulière aux entités en difficultés.  « Il importera d’accorder la plus grande attention de notre point de vue à la restructuration de certaines entités en difficultés, à travers notamment, la revue de leur modèle économique pour assurer leur viabilité à long terme. » a-t-il évoqué. 

Le Directeur Général du Portefeuille de l’Etat M. BAMBA Seydou a lancé un appel aux Dirigeants Sociaux sur « la problématique de l’amélioration de la gouvernance et de la performance des entreprises publiques. »  qui « constitue un véritable levier pour l’amélioration des conditions de vie de nos populations. »

La rencontre de ce jour a pris fin sur des mots de remerciements du Ministre aux Dirigeants Sociaux.


Le Ministère du Budget et du Portefeuille de l'Etat est constitué de cinq (05) principales Directions : la Direction Générale du Budget et des Finances, la Direction Générale des Douanes, la Direction Générale des Impôts, la Direction Générale du Portefeuille de l'Etat et la Direction Générale des Marchés Publics.


La campagne de sensibilisation des agents des forces de défense et de sécurité (FDS) en matière de lutte contre la corruption, initiée par le Ministère de la Promotion de la Bonne gouvernance, du Renforcement des capacités et de la Lutte contre la Corruption, a été lancée ce mercredi 27 octobre 2021, à l’Auditorium Da Pierre Alphonse de Vridi.

Présent à cette occasion, le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat a indiqué que l’administration douanière a beaucoup progressé ces dernières années tant en termes de facilitation des opérations douanières que de renforcement de la lutte contre la fraude. Et cela s’est ressenti au niveau des recettes fiscales globales en Côte d’Ivoire (impôts et douane) qui sont passées de 2200 milliards Fcfa en 2012 à 4200 milliards Fcfa en 2020, doublant quasiment en moins de 10 ans.

Malgré ces performances, Monsieur le Ministre a exhorté les agents à redoubler d‘efforts pour corriger la perception que les Ivoiriens ont de l’administration douanière.


Introduction :

La transition vers une administration moderne et efficiente est essentielle pour répondre aux défis du 21e siècle. Dans cette optique, la Gestion Électronique des Documents (GED) se présente comme une solution incontournable pour le Ministère du Patrimoine, du Portefeuille de l’État et des Entreprises Publiques de la Côte d'Ivoire. La mise en place d'un système de GED permettra d'optimiser la gestion des documents, d'accroître la productivité et de renforcer la transparence au sein de l'administration.

I. Contexte et enjeux :

Le Ministère du Patrimoine, du Portefeuille de l’État et des Entreprises Publiques de la Côte d'Ivoire gère une quantité importante de documents, allant des contrats aux rapports en passant par les correspondances officielles. La gestion traditionnelle de ces documents peut être chronophage, sujette aux erreurs humaines et souvent peu sécurisée. La transition vers une GED s'impose afin d'optimiser ces processus et de répondre aux exigences de la modernisation administrative.

II. Avantages de la GED :

  1. Accessibilité accrue : La GED permet un accès rapide et sécurisé aux documents depuis n'importe quel endroit, favorisant ainsi la collaboration entre les différents départements du ministère.

  2. Sécurité des données : La GED garantit la sécurité des documents sensibles grâce à des fonctionnalités avancées de gestion des droits d'accès, de suivi des modifications et de sauvegardes régulières.

  3. Productivité améliorée : En éliminant la recherche manuelle de documents, la GED permet aux employés de consacrer plus de temps à des tâches à forte valeur ajoutée, augmentant ainsi l'efficacité globale du ministère.

  4. Réduction des coûts : La GED contribue à la réduction des coûts liés à l'impression, au stockage physique des documents et à la gestion des archives, tout en minimisant les risques de perte de données.

III. Implémentation de la GED :

La mise en place d'un système de GED nécessite une approche méthodique. Le ministère devra identifier les besoins spécifiques de ses différents services, sélectionner une solution adaptée, former le personnel et assurer une transition en douceur vers le nouveau système.

  1. Analyse des besoins : Une évaluation approfondie des besoins en matière de gestion de documents est cruciale pour choisir une solution de GED adaptée aux spécificités du ministère.

  2. Sélection d'une solution GED : Le choix d'une solution de GED de qualité, prenant en compte la sécurité, la convivialité et la scalabilité, est essentiel pour garantir le succès du projet.

  3. Formation du personnel : La réussite de l'implémentation dépend de la formation adéquate du personnel. Des sessions de formation bien planifiées assureront une adoption rapide et efficace du nouveau système.

  4. Transition progressive : Une transition en douceur vers la GED, avec une gestion prudente du changement, minimisera les interruptions et favorisera l'adhésion du personnel.

Conclusion :

La Gestion Électronique des Documents offre une opportunité significative pour le Ministère du Patrimoine, du Portefeuille de l’État et des Entreprises Publiques de la Côte d'Ivoire d'optimiser ses processus administratifs. En adoptant cette technologie, le ministère peut améliorer l'efficacité, renforcer la transparence et contribuer à la modernisation de l'administration publique. La transition vers la GED représente un investissement stratégique pour l'avenir, positionnant le ministère comme un acteur clé dans la transformation numérique du pays.


Un atelier de restitution du rapport de l’étude de cas relative à l’évaluation de l’impact socio-économique des dépenses fiscales en matière de TVA, préalable à la mise en œuvre effective d’un plan de rationalisation, s’est tenu ce mardi 21 décembre 2021, au 20e étage de l’immeuble SCIAM.
Les travaux ont débuté en présence du Directeur de cabinet Adama Sall, qui représentait le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo. Dans son intervention, le Directeur de cabinet a indiqué que l’Etat accorde une grande importance à la problématique de mobilisation des ressources publiques, en particulier des recettes fiscales nécessaires pour assurer un développement harmonieux et équilibré du pays.
L’atelier a consisté non seulement à partager avec les acteurs locaux, parlementaires, représentants de l’administration et société civile, les conclusions et recommandations de l’étude, mais également à recueillir leurs avis en vue d’enrichir le document.


Dans le cadre de la redynamisation de la Cellule d’Evaluation et d’Audit des Dépenses Publiques (CEADP), le Ministre Moussa SANOGO a échangé avec les agents de la CEADP, le mercredi 22 décembre 2021, à leurs bureaux sis à Cocody Angré 7e tranche, suite à la présentation du rapport de la mission de mise à niveau en audit interne conduite par le cabinet IFACI certification.
Les résultats au niveau de ce service de la Direction Générale du Budget et des Finances, ont permis au Ministre de donner des orientations afin que des dispositions soient prises pour accélérer le processus de mise en conformité de la CEADP avec les normes et pratiques internationales, à travers la mise en œuvre des recommandations.


La Direction Générale du Budget et des Finances (DGBF) s’est dotée d’un code d’éthique et de déontologie au titre de l’exécution de son programme d’activités 2021.
Ce document qui s’inscrit dans la droite ligne de la politique de bonne gouvernance prônée par le Gouvernement, a fait l’objet de présentation officielle, le mercredi 29 décembre 2021, à la Rotonde de la Cité financière en présence du Directeur de cabinet, Adama Sall représentant le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.
Les valeurs essentielles prônées par ce code sont la solidarité, l’excellence, la probité et la transparence.
L’application de ce code d’éthique et de déontologie contribuera à amener l’agent de la DGBF à être un modèle au plan moral et professionnel. Il permettra également de renforcer la crédibilité de la DGBF par un comportement qui rassure les usagers, opérateurs économiques et partenaires.


Le chef de la Cellule de Coordination de la Politique Fiscale (CCPF), M. Paul Koua a représenté monsieur le Ministre Moussa Sanogo, à la rentrée solennelle du Groupement des professionnels et experts fiscaux de Côte d’Ivoire (GPEF-CI) ce mercredi 12 janvier 2022, à l’hôtel Tiama, au Plateau, autour du thème : « L’annexe fiscale 2022 et le plan de rationalisation ».
Il a expliqué que la motivation du gouvernement, en adoptant le plan de rationalisation des exonérations, est d’élargir l’assiette fiscale et accroitre les recettes fiscales sans créer de nouveaux impôts ou augmenter les impôts existants.
Il s’agissait également de se mettre en conformité avec les dispositions communautaires de l’Uemoa en la matière. Prenant le cas de la TVA, M. Paul Koua a expliqué que les dispositions communautaires prévoient 17 cas d’exonération, là où la Côte d’Ivoire comptait au total 64 cas. Avec le code général des impôts de 2021, ce nombre est aujourd’hui de 44 cas. Des efforts restent donc à faire pour atteindre la conformité. Il a en outre expliqué que l’annexe fiscale est la résultante d’un processus participatif et exhorté les experts fiscaux à prendre leur place dans son élaboration.


Représentant le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le Directeur de cabinet adjoint, M. Yaya Keho a procédé ce jeudi 13 janvier 2022, au 20e étage de l’immeuble Sciam au Plateau, au lancement de l’opération de renforcement du cadastrage dans le district d’Abidjan.
Il a indiqué que le projet a pour objectif d’améliorer le cadre de vie et la gouvernance foncière dans le district d’Abidjan, par la géolocalisation des biens immobiliers et des parcelles.

Ce projet vise à constituer une infrastructure cadastrale de qualité permettant d’éviter les erreurs techniques qui conduisent très souvent à des conflits fonciers.
M. Yaya Keho a précisé que ce projet intégré va impacter certes le niveau des recettes fiscales grâce à une optimisation du recouvrement de l’impôt foncier mais également et surtout la vie des populations.

C’est pourquoi il a appelé à la mobilisation et à l’engagement des maires, des chefs coutumiers et des acteurs de la chaine foncière, pour faire de l’opération qui démarre une réussite.


Le Directeur de cabinet adjoint du Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, M. Yaya Keho a assisté ce jeudi 9 juin 2022, à l’auditorium Da Pierre de Vridi, à l’ouverture de la réunion du comité de pilotage du projet d’interconnexion consacré au bilan de la mise en œuvre du Système interconnecté de gestion de marchandises en transit (SIGMAT), entre la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso et le Niger.

La rencontre a enregistré la participation des experts de la douane togolaise, de la CEDEAO, de la Banque mondiale, de l’UE, etc. Elle devrait permettre d’une part aux parties prenantes d’apprécier l’impact des efforts accomplis dans la mise en œuvre de l’interconnexion et d’autre part, de déterminer l’orientation et le soutien futur à réserver à la SIGMAT.
Le Directeur de cabinet adjoint s’est réjoui de la mise en place d’un mécanisme de suivi de l’interconnexion impliquant au plus haut niveau les Directeurs Généraux des douanes des pays interconnectés. Soulignant l’importance du projet, il a exhorté les Directeurs Généraux à un examen scrupuleux des points à l’ordre du jour et encouragé les douanes à œuvrer au renforcement de la coopération sous régionale, en vue d’une intégration réussie.


Le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo a procédé ce jeudi 21 juillet 2022, à l’Ecole des Douanes au Plateau, à la remise d’un important lot de matériels roulants à la Direction Générale des Douanes.
Cette dotation composée de 105 véhicules dont 72 pick up, 12 Fortuner, 7 Changan CS 35 ; 4 motos FJR, 8 motos Yamaha et 2 cars Mercedes de 65 places vient accroitre significativement les capacités opérationnelles de l’administration des douanes.
Ces moyens de locomotion serviront à améliorer les opérations de surveillance interne en vue de mobiliser davantage de ressources.
Plus tôt dans la journée, il a eu une séance de travail avec la Direction de la réglementation et du contentieux, dans les locaux de la Direction Générale.


Cinq mois après le succès retentissant, à Abidjan, de la quinzième Conférence des Parties (Cop15) à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification et la sécheresse, le matériel et les équipements mis à la disposition du comité d’organisation de cet évènement sont désormais réintégrés dans le patrimoine de l’Etat.
Il s’agit de 55 000 pièces composées de mobiliers de bureaux, du matériel informatique et de sonorisation, du matériel médical et de construction temporaire, etc.

En sa qualité de Ministre de tutelle de ce département, le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo a réceptionné symboliquement ces biens des mains du Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, M. Jean-Luc Assi et du Pco de la Cop15. C’était au cours d’une cérémonie qui s’est tenue ce jeudi 15 septembre au 20è étage de l’immeuble Sciam.
Cette mise à disposition de biens acquis avec les ressources de l’Etat et des partenaires en vue d’assurer le bon déroulement de la COP15, s’inscrivant dans le cadre des principes de gestion rationnelle des ressources de l’Etat et de bonne gouvernance prônées par le Président de la République, a enregistré la présence du Ministre de la Promotion de la Bonne Gouvernance, du Renforcement des Capacités et de la Lutte contre la Corruption, M. Epiphane Zoro Bi Ballo.

Après la réception symbolique, le Ministre Moussa Sanogo a félicité le comité d’organisation de la Cop15 pour cette initiative inédite, derrière laquelle transparaît selon lui le principe de reddition des comptes et la transparence, à travers la mise en œuvre efficace de la compatibilité matière. Pour finir, il annoncé des actions en vue de l’efficacité du contrôle des biens et équipement acquis avec les ressources de l’Etat.




Le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo a pris part ce mercredi 21 septembre 2022, à la Primature, au lancement officiel de la plateforme E-fournisseur, aux côtés du Premier Ministre Patrick Achi, de certains membres du gouvernement et du secteur privé.

La mise en place du module E-fournisseur est une avancée notable dans la politique de l’automatisation et de la dématérialisation des processus dans l’administration nationale, en particulier en matière de gestion des finances publiques.

Cet outil contribuera à renforcer la qualité du jeu économique en assainissant notamment les relations entre les fournisseurs et leurs partenaires. Il permet d’adresser efficacement la question de la célérité et de la transparence dans le traitement des dossiers des fournisseurs.
L’utilisateur a une idée précise de la situation de son dossier, de l’engagement budgétaire à la prise en charge du mandat de paiement; ce qui fait du E-fournisseurs un moyen approprié de faire progresser l’administration et de lutter efficacement contre la constitution des passifs.


Le jeudi 6 octobre 2022, s’est tenue au 11ème étage de l’Immeuble SCIAM Abidjan-Plateau, la restitution de l’étude sur l’accès aux marchés publics des PME installées dans les collectivités territoriales.

La présentation des résultats de l’étude menée par la Cellule d’Analyse de Politiques Economiques du CIRES (CAPEC) a été présidée par Monsieur le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.
L’objectif général de l’étude sur l’accès aux marchés publics des PME installées dans les collectivités territoriales est de comprendre pourquoi les mesures prises en faveur des PME ne favorisent pas leur accès aux marchés publics, notamment celles installées en régions.


Le Ministre Moussa Sanogo a procédé ce jeudi 20 octobre 2022, à l’immeuble SCIAM, au Plateau, à la présentation des prix décernés à son département ministériel lors de la 4e édition de remise des prix CAIDP aux acteurs engagés dans la promotion de la loi sur l’accès à l’information.

La Commission d’Accès à l’Information d’Intérêt Public et aux Documents Publics (CAIDP) a attribué au Ministère du Budget le ‘’Prix d’excellence CAIDP’’, pour sa constance dans la diffusion proactive des documents d’intérêt public depuis la première édition. Les deux autres prix ont été remportés par la Direction Générale des Marchés Publics (DGMP), à savoir le ‘’Prix CAIDP de la meilleure Direction Générale pour l’accès à l’information’’ et le ‘’Prix CAIDP du meilleur organisme public pour l’accès à l’information’’.
Le Ministre Moussa Sanogo a félicité l’ensemble des agents pour la qualité du travail abattu et souligné la nécessité de rendre compétitifs l’ensemble des sites internet du Ministère et des Directions Générales, en vue de répondre avec efficacité aux besoins des usagers.
Dans ce sens, il a assuré que le site web du Ministère continuera de s’améliorer, en vue surtout de demeurer une source d’informations fiable et un outil pratique pour tous les usagers et décideurs.


Le Ministre Moussa Sanogo était face aux Sénateurs membres de la Commission des Affaires Economiques et Financières (CAEF), le mardi 13 décembre 2022, à Yamoussoukro, pour la présentation du projet de loi de règlement du budget de l’Etat au titre de l’année 2021.
Adopté à l'unanimité, ce projet de loi entérine les opérations d'aménagement budgétaire de l'ordre de 431,49 milliards de francs CFA effectuées au cours de l'année 2021, faisant ainsi passer le niveau de budget de l'Etat pour l'année 2021 de 9093,6 milliards de francs CFA à 9525,09 milliards de francs CFA.
Les Sénateurs ont également adopté à l’unanimité le projet de loi de finances rectificative 2022. Le budget de l’Etat pour l’année 2022 enregistre ainsi une hausse de 833,5 milliards de francs CFA, soit une progression de 8,41%, passant de 9 901.1 milliards de francs CFA initialement prévus à 10734,5 milliards de francs CFA..


La Commission des Affaires Economiques et Financières (CAEF) du Sénat a adopté à l’unanimité, le vendredi 16 décembre 2022, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny, le projet de loi de finances portant budget de l’Etat pour l’année 2023 et son annexe fiscale.
D’un montant de 11 694,4 milliards de francs CFA, le projet de budget est structuré en 32 dotations et 137 programmes répartis au sein des Institutions et Ministères.

Le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo a fait remarquer que la session s’achevait seulement quelques heures après l’inauguration du tronçon Yamoussoukro-Tiébissou de l’autoroute du Nord par le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné, ceci indiquant que de très belles perspectives s’ouvrent à nous.
Il a exprimé sa satisfaction quant à la franche collaboration du Parlement dans la mission commune de doter la Côte d’Ivoire de lois de qualité à la dimension des ambitions et de la grandeur du pays.


Le Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Monsieur Moussa Sanogo a procédé à la pose de la première pierre du siège social de la Direction Générale du Portefeuille de l’Etat (DGPE), ce vendredi 23 décembre 2022, au Plateau, à l’Avenue Terrasson de Fougère, sur un site mitoyen à l’hôtel Ivotel.

Il a exprimé sa satisfaction en posant cet acte qui marque le début des travaux de construction d’un immeuble moderne de 8 étages avec 4 niveaux de sous-sol, qui sortira de terre dans 32 mois.

Ensuite, il a souligné que pour assurer une supervision efficace des entreprises publiques, il faut disposer de ressources humaines de qualité, qui ne peuvent donner la plénitude de leur talent que si l’environnement et les conditions de travail sont excellentes.
Il est donc nécessaire de poursuivre les efforts pour permettre à la DGPE, qui a un rôle important dans le suivi des entreprises publiques, d’améliorer davantage ses performances.


Le ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat a organisé l’édition 2023 de l’atelier-bilan des conférences et missions le vendredi 27 janvier 2023, à la Maison de l’entreprise, avec la participation de l’ensemble des points focaux.

La rencontre s’est déroulée autour du thème « Mise en production du système intégré de gestion des missions hors Côte d’Ivoire (SIGMISSION) : Bilan et perspectives.
Les travaux ont porté longuement sur la prise en compte des Etablissements publics nationaux (EPN) dans l’applicatif SIGMISSION, qui devra être consolidé pour une gestion optimale des ressources consacrées aux séminaires, ateliers, conférences et missions organisés tant en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur du pays.

A l’ouverture des travaux, le directeur de cabinet Adama Sall a indiqué que l’objectif de la rencontre était de passer en revue plusieurs sujets d’importance afin de parvenir à une meilleure maitrise du cadre réglementaire relatif aux conférences et missions. Il a affirmé que grâce aux résolutions qui ont sanctionné les précédentes éditions de l’atelier-bilan, « c’est environ 2 milliards de francs cfa d’économie qui a été réalisés sur les ressources publiques allouées aux conférences et missions au cours des trois dernières années. ».

Ces ressources sont ainsi passées d’un niveau global de 6 milliards de francs cfa en 2019 à 4 milliards de francs cfa en 2022 grâce à des recommandations qui ont été formulées, susceptibles d’optimiser la dépense publique. Celles-portent notamment sur la recherche de tarifs aériens plus compétitifs, le respect des quantums d’indemnités par catégorie de fonctionnaires et agents de l’Etat, le respect de la durée réglementaire des missions, la taille des effectifs des délégations et la nécessité de produire les pièces justificatives.

Evoquant la plateforme SIGMISSION, dont le lancement s’est fait en juin 2022, le directeur de cabinet a souligné qu’il était important de procéder à un bilan à mi-parcours, afin d’en identifier les performances, mais et surtout les écueils rencontrés par les acteurs dans son utilisation.
A ce jour, plus de trois quarts des départements ministériels ont effectivement recouru à la plateforme avec des fortunes diverses, mais dans l’ensemble, relève Adama Sall, la dématérialisation des missions à l’étranger enregistre un succès.
D’ailleurs, en vue de reconnaitre les efforts remarquables accomplis, l’atelier-bilan a décidé de récompenser les parties qui ont accompagné volontiers la mise en œuvre du projet.
Deux institutions de la République ont ainsi reçu des prix spéciaux, à savoir le Secrétariat Général de la Présidence de la République et le Secrétariat Général du Gouvernement.
Quatre ministères ont pour leur part reçu des prix de reconnaissance, notamment le ministère d’Etat, ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, le ministère de l’Economie et des Finances, le ministère des Mines, du Pétrole et de l’Energie, et le ministère du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME.

A la fin des travaux, le directeur de cabinet Adama Sall a marqué sa satisfaction quant à la qualité des travaux et recommandations formulées, qui constituent des pistes d’actions dont le ministère du Budget devra s’inspirer pour renforcer le cadre de gestion des conférences et missions et améliorer le système de dématérialisation de activités.

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